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DerniĂšre mise Ă  jour il y a 3 mois

AprĂšs presque cinquante annĂ©es de dĂ©ficit continu, la France a un niveau de dette historiquement Ă©levĂ© avec plus de trois mille deux cent milliards d’euros accumulĂ©s, soit 110% atteint en 2023 de la richesse nationale produite chaque annĂ©e. Un dĂ©ficit constatĂ© Ă  +6% de cette richesse (mesurĂ©e en % du PIB(1)) permet de douter d’un rĂ©tablissement de la situation, mĂȘme Ă  moyen terme, sans dĂ©cisions politiques majeures. Ce dĂ©ficit est de 40% s'il est ramenĂ© aux recettes de l'Ă©tat qui dĂ©pense donc 140% de ses revenus qui pourtant mettent la France en premiĂšre place des niveaux de taxation des pays de l'OCDE. En cette fin 2024 ce rĂ©sultat nous place en 3Ăšme derriĂšre la GrĂšce et l’Italie sur le cumul et deux fois au-dessus de l’Allemagne sur un an avec dans le cas particulier de la France le constat d’une “mauvaise” dette ces derniĂšres annĂ©es, qui n'aura pas permit de dĂ©velopper la croissance Ă©conomique du pays. En effet le PIB national n’aura augmentĂ© que de 570MM d’euros pour 911MM de dette (2016-2023(2)) soir +12.6% points de PIB de dette. Ces donnĂ©es sont Ă  corriger de -8.3% “d’exceptionnel”, mais de +1.8% d’effet inflation et de +3.1% de diminution de la charge des intĂ©rĂȘts (on a quand mĂȘme empruntĂ© Ă  taux nĂ©gatif pendant le COVID !) soit 9.2% de progression de notre niveau d’endettement en points de PIB pour une moyenne EuropĂ©enne de stable sur la mĂȘme pĂ©riode Ă  environ 84% de point de PIB(3). Certes avec ces dĂ©penses l’on aura remis 1M de Français au travail mais les effets attendus sur l’économie rĂ©elle sont manifestement insuffisants.

La BCE(4) dĂ©tient environ 25% de notre dette nationale dĂ©but 2024 ce qui fait de l’Europe de facto une de nos plus gros crĂ©anciers. L’annuler n’est pas forcĂ©ment une bonne idĂ©e(5) pour certains, “Frexit” choisi ou contraint ou pas, les directives EuropĂ©ennes ne pourront pas ĂȘtre ignorĂ©es par nos dirigeants. “L'union des marchĂ©s des capitaux” (UMC) avance(6) depuis 2011 au sein de la Commission europĂ©enne(7) et s'accĂ©lĂšre depuis la crise COVID argumentant le financement de la transition Ă©cologique, numĂ©rique et le rĂ©armement militaire. Le narratif de ce projet Ă©volue cependant pour parler de “d’épargne et l'investissement Ă  long terme des particuliers” qui serait mal flĂ©chĂ©e vers des investissements extra-EuropĂ©ens fort de l’analyse d’experts mandatĂ©s comme le rĂ©cent rapport Noyer(8) en France. La conclusion du rapport de l'Ă©narque Ă©ponyme, ancien de la direction du trĂ©sor et de la banque de France est qu’il faut crĂ©er des “produit d’épargne europĂ©en (PEPP)” long terme et harmonisĂ©s au sein de l’union, permettant une “relance de la titrisation”

Cette intervention publique peut laisser l’épargnant privĂ© perplexe. Qui va dĂ©cider Ă  l’avenir de ce qui est de la “bonne” ou “mauvaise” Ă©pargne, sur quels critĂšres, quel niveau de contrainte ?

L’utilisation de l’épargne est aujourd’hui un espace de libertĂ© gagnĂ© aprĂšs acquittement des prĂ©lĂšvements libĂ©ratoires qui sont dĂ©jĂ  nombreux dans le cycle du revenu qui vous touche directement ou indirectement en fonction de oĂč vous vous situez dans la chaĂźne de valeur :

  • la TVA (environ 20% du chiffre d’affaire),

  • les charges sociales qui affectent le rĂ©sultat de l’entreprise comptant dans ses charges et finançant le modĂšle social dont l’assurance chĂŽmage et la retraite par rĂ©partition (environ 25% et 45%),

  • l’impĂŽt sur les sociĂ©tĂ©s diminuant le rĂ©sultat avant distribution des dividendes (entre 15% et 25%),

  • l’impĂŽt sur le revenu du contribuable (de 11% Ă  45%),

  • sans compter les diverses taxes d’accĂšs aux marchĂ©s suivant le produit d’épargne utilisĂ© comme la taxe sur les transactions financiĂšres(9) (0,3% du flux).

pouvant ainsi vous coĂ»ter jusqu’à 90% de l’activitĂ© gĂ©nĂ©ratrice de votre gain.

L’histoire nous apprend que dans une situation d’instabilitĂ© politique et de tensions sociales maintenant prĂ©visible nous ne pouvons exclure des prises de dĂ©cisions prĂ©cipitĂ©es et peu rationnelles de nos Ă©lites.

Nous pensons que la libertĂ© de choix de ses placements est une libertĂ© essentielle qui ne spolie personne dans un État ou le niveau de prĂ©lĂšvement obligatoire est dĂ©jĂ  un des plus Ă©levĂ©s au monde(10). Notre Ă©quipe a anticipĂ© les Ă©vĂ©nements actuels et travaille depuis plus de deux ans Ă  prĂ©parer des solutions d’épargne souveraine lĂ©gales et basĂ©es sur la rĂ©gulation europĂ©enne qui permettent de conserver la libertĂ© de ses choix entre ce que la puissance publique va leur (imposer)proposer et le marchĂ© existant, sans vous pousser Ă  des schĂ©mas d’évasion fiscale offshore qui nuisent tout autant Ă  notre souverainetĂ©.

Il est tant d’équilibrer le rapport de force si l’on ne souhaite pas subir ces dĂ©cisions sans rien faire, s’armer de solutions permettra d’éviter le pire.

(1) (2) (3) (4) au travers de la Banque de France https://www.banque-france.fr/fr/publications-et-statistiques/statistiques/emission-et-detention-de-titres-francais-2023t4 (5) (6) (7) qui pour rappel est non Ă©lu au suffrage universel directe et propose et applique les textes Ă  l’image de notre exĂ©cutif Français (8) (9) (10) 47% PIB en France pour 41.7% moyen en Europe des 27, , 34% en moyenne OCDE https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9l%C3%A8vements_obligatoires

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https://www.insee.fr/fr/statistiques/8061907
https://www.ofce.sciences-po.fr/blog/les-crises-expliquent-elles-la-hausse-de-la-dette-publique-en-france/
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2830286#tableau-figure1
https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2020/11/30/annuler-la-dette-detenue-par-la-bce-est-ce-legal-utile-souhaitable
https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/what-the-eu-is-doing-to-deepen-its-capital-markets/#:~:text=L'union%20des%20march%C3%A9s%20des%20capitaux%20(UMC)%20est%20l,des%20entreprises%20et%20des%20investisseurs.
https://www.economie.gouv.fr/actualites/rapport-noyer-developper-marches-capitaux-europeens-financer-avenir
https://fr.wikipedia.org/wiki/Taxe_sur_les_transactions_financi%C3%A8res_(France)
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381410#:~:text=Lecture%20%3A%20en%202021%2C%20le%20poids,institutions%20de%20l'Union%20europ%C3%A9enne